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Été 85
Une voix off, celle du jeune protagoniste, raconte l’histoire qui se passe, comme le titre l’indique, à l’été 1985, quand le narrateur a plus ou moins l’âge du cinéaste François Ozon, né en 1967. Situé dans la petite ville balnéaire du Tréport, le film raconte la rencontre du narrateur, le jeune lycéen Alexis, âgé de 16 ans, avec David, de quelques années plus âgé. Le récit est rythmé par de fréquents allers et retours entre le présent d’une enquête policière et judiciaire autour du >>>>>>>
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Mon crime
_______________________________________ François Ozon est un cinéaste à la fois prudent et malin : quand ces films flirtent dangereusement avec un four, il trouve dans le répertoire du boulevard une pièce à succès qui lui permet de réunir une palette d’acteur.ices connu.es et moins connu.es autour d’une intrigue bien ficelée. Histoire de rappeler aux producteurs qu’il est toujours bankable... Recette dont le succès est éprouvé : 3,7 millions d’entrées pour Huit femmes en 2002 ; 2, 3 >>>>>>>
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L’Amant double
J’ai beaucoup traîné à aller voir le dernier film d’Ozon, craignant le pire… Je n’ai pas été déçue ! Creux, prétentieux, interminable, insupportable et bien sûr misogyne ! Comme Ozon pense sans doute que c’est plus consensuel de faire des films sur les hétéros (surtout avec des bimbos), il jette son dévolu (pour la deuxième fois) sur Marine Vacth, suffisamment androgyne et suffisamment jeune pour satisfaire, j’imagine, à la fois les fantasmes des hommes gays et hétéros : dès le >>>>>>>
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Grâce à Dieu
Cette question sert de fil rouge à la dernière oeuvre de François Ozon qui nous propose pendant deux heures de comprendre les mécanismes de construction d’une victime. Ce film passionnant et passionné par les humains qu’il observe, ne se préoccupe presque pas des « actes » qui seront décrits – parfois en détails – mais qui ne suffisent pas pour que naisse « la victime ». Il est question de pédophilie dans l’Église catholique. Ici, c’est à Lyon que ça se passe. Ces enfants abusés ne se >>>>>>>
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Frantz
Ce film que François Ozon adapte librement Broken Lullaby (L’homme que j’ai tué) réalisé par Ernst Lubitsch en 1932, lui-même adapté d’une pièce de Maurice Rostand, a été sélectionné au Festival de Venise qui a récompensé la jeune actrice allemande Paula Beer du prix « Révélation ». Il est toujours intéressant d’analyser les changements que les adaptateurs ont faits par rapport à l’œuvre originale, car ils peuvent être un indice des enjeux de la nouvelle version. L’homme que j’ai >>>>>>>