Mona Chollet, sur son blog La Méridienne, publie un billet argumenté : "Alain Finkielkraut, le patriarche ultime".
« Ironie » ? « Second degré » ? Sérieusement ?
« Je dis aux hommes : violez les femmes ! D’ailleurs, je viole la mienne tous les soirs et elle en a marre », a donc asséné Alain Finkielkraut sur le plateau de LCI, le 13 novembre, face à la militante féministe Caroline De Haas. Il tournait par là en dérision les accusations de sa contradictrice. Ou, du moins, il croyait les tourner en dérision. Comme beaucoup — et d’abord comme Caroline, dont la colère est visible à l’écran —, tout en sachant bien qu’il prétendait faire de l’ironie, j’ai été saisie d’effroi devant cette séquence.
>> Le billet intégral :
http://www.la-meridienne.info/Alain-Finkielkraut-le-patriarche-ultime
– Le champion de tous les thuriféraires d’une France blanche où les femmes savent tenir leur place
– L’un des plus éminents représentants de l’universalisme de clocher
– Face au patriarche, une sidération profonde, la peur d’enfreindre une loi implicite
– Philosophes, artistes, médecins, professeurs...