Avec un essai rédigé après l’affaire Benoît Jacquot, Geneviève Sellier a braqué une bonne partie de la critique de cinéma française contre elle. La réception de ce texte trop expéditif en dit long, aussi, sur la difficulté à faire advenir un débat post-#MeToo sur la figure sacrée de l’« auteur ».
Le Culte de l’auteur met la critique cinéphilique dans un grand émoi. Ludovic Lamant rapporte dans son article des propos assez peu amènes (« Où situe-t-on le poujadisme en politique ? », s’inquiète même Christophe Kantcheff dans Politis !), des positions plus tièdes, et d’autres plus convaincue et convaincantes."
Avec l’aimable autorisation de l’auteur
Message de Geneviève Sellier : "Un article à lire vous attend sur Mediapart. Ils ne me font pas de cadeau !"
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NB : un lien dans l’article renvoie, sur le site de l’Assemblée, à la prestation des critiques auprès de la commission d’enquête parlementaire : Guillemette Odicino (Télérama), Serge Toubiana et Marcos Uzal, (Cahiers du cinéma).
Polémiquons.
1. "Une charge contre le « culte de l’auteur » braque la critique", 5 janvier, 19:39, par Marion Hallet
Chère Geneviève,
Tu as tout mon soutien... Je m’en vais à présent regarder ton intervention en commission ;)
Amitiés,
Marion